Anne-Dauphine Julliand est une maman endeuillée qui s’interroge sur le sens de la vie. Que faire pour sortir de la souffrance, ne pas se replier sur soi, vaincre ce sentiment d’être hors du monde ? Apprendre la consolation, nous dit-elle, cette force de l’amour, ce lien à l’autre, qui doit être esquissé même s’il nous parait dérisoire ou maladroit, car c’est dans nos fragilités que nous avons le plus besoin de notre prochain. Un témoignage vibrant et fort, pour aider chacun à consoler ou être consolé car, comme l’écrit Anne-Dauphine Julliand, « il n’y a pas de consolation sans souffrance et il ne devrait pas y avoir de souffrance sans consolation. »